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« On ne peint bien que ce que l’on perd »


Résistance, une nécessité ?

« Valentin n’est pas devenue artiste par choix, mais bien par « nécessité », pour défier quelque chose », dit d’elle la journaliste critique d’art Julie Chaizemartin. Dès l’enfance, elle brave l’interdit parental et dessine sur le mur du voisin avec de la cendre de feuilles mortes ! Un premier geste indissociable de sa démarche artistique d’aujourd’hui.
 

Aujourd’hui elle utilise toujours la cendre qu’elle lie en un mélange à de la poudre de pigment noir -  un secret de fabrication - pour tracer sur papier de grands arbres, des troncs presque calcinés, un bois enflammé ... et ainsi faire vibrer ses blancs. Du vide surgit ainsi une forêt dont on sait qu’elle renaît dans les craquements. 


« C’est parce que Christel Valentin est fondamentalement une artiste du vivant, de ses ressources et de ses contingences contemporaines, que son art s’ancre dans nos propres émotions », dit d’elle, joliment, Julie Chaizemartin.

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